L’industrie hôtelière à Jacmel ne vit plus ses beaux jours. Ce secteur d’activité regroupant l’ensemble des établissements qui proposent un service d’accueil connait une baisse constante depuis deux ans. Cette baisse liée à la demande pousse certains hôtels à recourir à la reduction des effectifs ou à la supension temporaire tout simplement de leurs activités. Une situation qui préoccupe les hôteliers à Jacmel. La rédaction du journal a rencontré quelques hôteliers.

L’industrie hôtelière à Jacmel ne vit pas ses beaux jours. Ce secteur d’activités regroupant l’ensemble des établissements qui proposent un service d’accueil connait une baisse constante depuis deux ans. Cette baisse liée à la demande pousse certains hôtels à recourir à la compression des effectifs ou cesser temporairement leurs activités tout simplement. Une situation qui préoccupe les hôteliers à Jacmel. La rédaction du journal a rencontré quelques hôteliers.

L’industrie hôtelière à Jacmel ne vit pas ses beaux jours. Ce secteur d’activités regroupant l’ensemble des établissements qui proposent un service d’accueil connait une baisse constante depuis deux ans. Cette baisse liée à la demande pousse certains hôtels à recourir à la compression des effectifs ou cesser temporairement leurs activités tout simplement. Une situation qui préoccupe les hôteliers à Jacmel. La rédaction du journal a rencontré quelques hôteliers.

« Ochan pou Maskarad tradisyonèl Jakmèl » est le thème retenu dans le cadre de la 14e édition de l’événement culturel dénommé « Cocktail poétique ». Ce rendez-vous artistique traditionnel, en prélude à la célébration du carnaval national de Jacmel, a permis au public de découvrir l’univers créatif des artistes du terroir. De la prestation des artistes en herbe du groupe Ukulélé du Centre Alcibiade Pommayrac au show des mascarades en passant par la lecture du long poème de Pascarin Raymond, le cocktail annuel a su mettre en poésie le carnaval national de la métropole du Sud-Est.

« Aujourd‘hui, c’est avec le cœur rempli de joie que je suis ici présente comme gagnante de la 44e édition du prix littéraire Henri Deschamps pour mon roman Konfidans. Quand j’avais décidé d’écrire ce livre, je ne savais pas si j’allais aborder des thèmes comme la violence faite aux femmes, la misère, la prostitution et l’injustice qui rognent notre société », a déclaré le prix Deschamps 2019 Fédia Stanislas, les yeux pétillants de ravissement, dans une salle comble de l’hôtel El Rancho, à Pétion-ville, le mardi 10 décembre 2019. Son roman en créole relatant l’histoire poignante d’une jeune femme a capté, à l’unanimité, le jury Deschamps.